(2002)
Pour 6 percussions, piano & électronique. Musique pour le film « L’âge d’or ».
Commande de l’Ircam et des Percussions de Strasbourg.
Dédié aux Percussions de Strasbourg, à Dimitri Vassilakis, Tom Mays, Agnès Couaillier et Frédéric Prin

Note

Le Scorpion est la partition écrite par Martin Matalon pour le film de Luis Buñuel, L’Age d’or.

Fiche technique / Technical ride

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Contact

Gérard Billaudot http://www.billaudot.com/fr/

Historique

5 Octobre 2002 (Création Mondiale)
Les percussions de Strasbourg
Dimitri Vassilakis Piano technique IRCAM
Musica – Strasbourg / France

30 Novembre 2002
Les percussions de Strasbourg
Dimitri Vassilakis Piano technique IRCAM
Huddersfield
Festival Ultima / Norvège

7 & 8 Février 2003
Les percussions de Strasbourg
Dimitri Vassilakis Piano technique IRCAM
Salle Flagey
Bruxelles / Belgique

12 Février 2003
Les percussions de Strasbourg
Dimitri Vassilakis Piano technique IRCAM
Arsenal de Metz / France

27 & 28 Mars 2003
Les percussions de Strasbourg
Dimitri Vassilakis Piano technique IRCAM
Cité de la Musique
Paris / France

10 Avril 2003
Les percussions de Strasbourg
Dimitri Vassilakis Piano technique IRCAM
Le Manège
Reims / France

6 & 7 Novembre 2004
Les percussions de Buenos Aires
Dimitri Vassilakis Piano technique IRCAM
Teatro San Martin
Argentine

Propice au travail sur la matière sonore, la palette instrumentale très particulière du Scorpion mêle, outre six percussions d’une grande diversité (instruments en bois, métaux, peaux, terre, sable et instruments traditionnels digitaux comme les tablas, le zarbe ou l’udu), deux pianos et un dispositif électronique. Toute l‘activité de ce dernier, que se soit la spatialisation, la transformation de timbres, la fabrication de résonances et les effets en général, est reproduite en temps réel.

La partition suit globalement le découpage du film, ce qui permet à la musique d’adopter son articulation générale très dynamique entre grandes, moyennes et petites formes. Le passage entre chacune des treize sections constituant l’oeuvre se fait selon le procédé employé par le cinéaste, qui consiste à « agrafer » deux scènes consécutives avec un détail commun parfois anodin.

Pascal Ianco